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Autour de Saint-Vincent...
Souvenirs de Sidi-bel-Abbes
souvenir de la kermesse paroissiale, morceau de programme cantiques à la vierge Marie des amis de Lourdes en Oranie Sidi-bel-Abbès, lundi de Pâques 1950, le futur Jean XXIII et le curé Mas
Les enfants du Patronage, Photo André Maid
les cloches de St-Vincent,
photo Francis Rodriguez
"bout" de programme de la kermesse paroissiale doc. Henri
Cantiques à la vierge Marie pages 1 et 4, doc Jeannine Pons-Lagadec
Pâques 1950, visite du futur Jean XXIII, document Khemia
cantiques à la vierge Marie des amis de Lourdes en Oranie Procession de la vierge de Santa Cruz à Sidi-bel-Abbès en 1949
20 décembre 1956, document Khemia
Tableau vivant à l'église du Maconnais, document Raymond Domingo
Cantiques à la vierge Marie pages 2 et 3, doc Jeannine Pons-Lagadec
Procession 1949 document Khemia
Patronage 1930 Chorale de l'église Saint-Vincent en 1947 Groupe théâtral "la passion du Christ" 1954 Spectacle la passion du Christ, sallae Jeanne d'Arc vers 1950 Spectacle la passion du Christ, années 50 à Sidi-bel-Abbès
Spectacle espagnol vers 1930, document Geneviève Martens
Chorale 1947 document Khemia
Groupe théâtral "la passion du Christ" 1954, document Khemia
Spectacle "la passion du Christ" 1950, document Khemia
Spectacle "la passion du Christ" 1954, document Khemia
Orchestre et chorale de l'église Saint-Vincent de Sidi-bel-Abbès Adoration de la vierge avenue Kleber Reconstitition-decor à Marsac, année ? pièce montée 1990 coupe de l'amitié Khemia
Chorale Saint-Vincent, document Khemia Envoi René Soro La vierge visiteuse, photo Nicole Bernabé Reconstitution à Marsac, photo Crespo Pièce montée 1990 document Khemia
Si vous voulez en savoir plus : le livre de Gandini "Eglises d'Oranie 1830-1962" contient une étude très détaillée sur la paroisse St-Vincent. On y apprend, par exemple, que en 1855, un premier projet d'église fut mis à l'étude, le plan en fut même tracé sur le sol, mais devant les protestations du curé et du commandant supérieur contre son insuffisance, on en établit un nouveau beaucoup plus vaste. En septembre, l'ordre de commencer les travaux fut donné ; vers la fin 1856, l'église était prête à être couverte et le 24 février 1859, elle était livrée au culte après avoir été consacrée par Mgr Pavy. Les travaux durèrent donc quatre ans et la Légion fut d'un grand secours. La première cloche sonna du haut d'un tréteau près de la chapelle provisoire du quartier de cavalerie.
Elle se nommait Marie-Lucie-Vincent et provenait d'une collecte faite parmi les habitants. Lors de l'inauguration de l'église, on fit monter la cloche au clocher où l'attendait une compagne donnée par le conseil municipal. Cette compagne ne fit pas honneur aux conseillers : elle se fêla après quelque temps de service, laissant tout le travail à son aînée. Ces deux cloches disparurent pour faire place à un carillon commandé à la maison Charles Aragon de Lyon. Il se composait de dix cloches qui furent baptisées le 21 avril 1892 par Mgr Soubrier, assisté du chanoine Poux, curé-doyen de la paroisse. L'orgue de 14 jeux fut bénit par Mgr Durand en 1926. En 1930, deux chapelles latérales et deux sacristies nouvelles furent construites par la municipalité Bellat, toujours bienveillante...

Note d'André Hernandez