Les grands-parents maternels de mon père, laissèrent ‘’ Cabo de Gata’’, cette plage sauvage au du sud de l’Espagne balayée par le vent du large, qui dans un funèbre duo avec le soleil de feu, avait desséché leur pauvre terre Pourtant ce vent, dur et sans pitié, fut aussi celui du salut, car il leur chanta un jour les louanges de cette terre Française, de l’autre côté de la mer, qui pouvait offrir une échappatoire à la misère.