Souvenirs de Sidi-bel-Abbes
André Amadeuf : la dernière année des ateliers du Collège Moderne de Sidi-Bel-Abbès
ex Ecole Primaire Supérieure, page 2/9
ex Ecole Primaire Supérieure, page 2/9
A droite l'atelier de métallerie était aménagé dans une salle longue et étroite qui était le prolongement du préau. Le local était sombre, il était éclairé par deux fenêtres s'ouvrant au nord vers le glacis, de deux petites baies vitrées donnant l'une sur le préau, l'autre sur la galerie en arcades qui faisait le tour de la cour.
En entrant dans l'atelier, sur la droite, les professeurs avaient placé une grande table d' élève qui leur servait de bureau, venait ensuite dans le prolongement de cette table, une scie électrique à métaux et une fraiseuse. Le tour était adossé au mur côté préau ce qui permettait à l'enseignant qui y officiait de surveiller tout l'atelier.
Quelques armoires le long des murs derrière les machines contenaient certains outils spécifiques les concernant et quelques dossiers pédagogiques.
Sur l'un des murs côté préau ou côté cour, un poster géant représentait la coupe coloriée d'une locomotive à vapeur.
Face à la porte d'entrée une imposante forge surmontée de sa hotte trônait majestueusement. Devant elle une grosse enclume montée sur un massif billot de bois rétrécissait le passage.
Le reste de l'atelier était divisé en deux sur sa longueur par une demi cloison.
De chaque côté des deux couloirs ainsi obtenus,d'épais madriers fixés sur de solides ferrailles scellées dans les murs servaient d'établis et de support à une vingtaine d'étaux en acier dont les pieds étaient encastrés dans le sol.
Quelques armoires le long des murs derrière les machines contenaient certains outils spécifiques les concernant et quelques dossiers pédagogiques.
Sur l'un des murs côté préau ou côté cour, un poster géant représentait la coupe coloriée d'une locomotive à vapeur.
Face à la porte d'entrée une imposante forge surmontée de sa hotte trônait majestueusement. Devant elle une grosse enclume montée sur un massif billot de bois rétrécissait le passage.
Le reste de l'atelier était divisé en deux sur sa longueur par une demi cloison.
De chaque côté des deux couloirs ainsi obtenus,d'épais madriers fixés sur de solides ferrailles scellées dans les murs servaient d'établis et de support à une vingtaine d'étaux en acier dont les pieds étaient encastrés dans le sol.