Robert Bounneau : Les émissions de radio de ma jeunesse, 7/7
Souvenirs de Sidi-bel-Abbes
-Les conseils d’Axel Lérateur avec Jean Yanne et Gérard Sire, deux pince sans rire carrément anarchistes, qui conseillaient aux camionneurs de rouler lentement pour emmerder les automobilistes bloqués derrière eux, et de ne leur faire signe de dépasser que lorsqu’ils apercevaient des gendarmes au bord de la route.
C’était l’époque ou Jean Yanne avait mis au point son célèbre sketch du permis de conduire et où Pierre Dac et Francis Blanche avaient enregistré « en live » leur célèbre sketch du sage Rabindranah Duval lors d’une soirée bien arrosée.
-Conversations de comptoir avec Maurice BIRAUD qui tenait le crachoir en virtuose du calembour et de l’histoire drôle, avec Philippe CASTELLI qui ponctuait invariablement les histoires des autres par un rituel « C’est comme moi ! »,qui était la seule réplique qu’il pouvait caser d’un ton résigné, avant qu’un des autres lascars ne lui coupe la parole.
-En direct de L’Olympia, le Dimanche après midi où j’ai entendu le premier récital de Vince Taylor en France
C’était l’époque ou Jean Yanne avait mis au point son célèbre sketch du permis de conduire et où Pierre Dac et Francis Blanche avaient enregistré « en live » leur célèbre sketch du sage Rabindranah Duval lors d’une soirée bien arrosée.
-Conversations de comptoir avec Maurice BIRAUD qui tenait le crachoir en virtuose du calembour et de l’histoire drôle, avec Philippe CASTELLI qui ponctuait invariablement les histoires des autres par un rituel « C’est comme moi ! »,qui était la seule réplique qu’il pouvait caser d’un ton résigné, avant qu’un des autres lascars ne lui coupe la parole.
-En direct de L’Olympia, le Dimanche après midi où j’ai entendu le premier récital de Vince Taylor en France
.A titre de conclusion, je dédie cet inventaire probablement incomplet d’émissions de radio qui ont marqué ma jeunesse, à ceux et celles pour qui, comme moi, « écouter la radio » a longtemps été un rituel un peu solennel qui rythmait les soirées familiales à une époque où la télévision n’avait pas encore l’importance qu’elle a aujourd’hui.
