Robert Bounneau : Les émissions de radio de ma jeunesse, 3/7
Souvenirs de Sidi-bel-Abbes
-Le Hot Club d’Alger seule émission radiophonique consacrée uniquement au jazz avant celle de Pat Malson sur France Inter, qui avait pour indicatif le célèbre « In the mood » et qui était présentée par Hugues Panassier.
C’est grâce à cette émission que j’ai découvert tous les grands du Jazz en particulier Lionel Hampton, dont l’un des passages à Alger avait tant ému le jeune Enrico Macias comme il le relate dans ses souvenirs
Mes parents, pourtant de culture musicale très classique, appréciaient particulièrement Jacques Loussier qui avait entrepris de « jazzifier » des célèbres thèmes de Bach par l’adjonction au piano d’une contrebasse et d’une batterie.
-Les reportages sportifs de Charly FINALTERI et Raymond TORTORA qui commentèrent avec beaucoup de talent la victoire historique de notre Sporting Club Bel Abbesien contre le Gallia d’Alger lors d‘une finale dont je ne me rappelle plus l‘année.
C’est en écoutant radio Alger, que j’ai entendu pour la première fois un petit journaliste qui fera son chemin dans les années 80 et qui a commencé sa longue carrière en faisant comme il l‘a avoué plus tard, « les chiens écrasés » à radio Oran ; j’ai encore dans l’oreille sa formule de fin d’antenne « Ici Oran, Jean Pierre ELKABACH, à vous Alger » .
C’est grâce à cette émission que j’ai découvert tous les grands du Jazz en particulier Lionel Hampton, dont l’un des passages à Alger avait tant ému le jeune Enrico Macias comme il le relate dans ses souvenirs
Mes parents, pourtant de culture musicale très classique, appréciaient particulièrement Jacques Loussier qui avait entrepris de « jazzifier » des célèbres thèmes de Bach par l’adjonction au piano d’une contrebasse et d’une batterie.
-Les reportages sportifs de Charly FINALTERI et Raymond TORTORA qui commentèrent avec beaucoup de talent la victoire historique de notre Sporting Club Bel Abbesien contre le Gallia d’Alger lors d‘une finale dont je ne me rappelle plus l‘année.
C’est en écoutant radio Alger, que j’ai entendu pour la première fois un petit journaliste qui fera son chemin dans les années 80 et qui a commencé sa longue carrière en faisant comme il l‘a avoué plus tard, « les chiens écrasés » à radio Oran ; j’ai encore dans l’oreille sa formule de fin d’antenne « Ici Oran, Jean Pierre ELKABACH, à vous Alger » .
Sur Paris Inter :
-Les causeries de Marcel PAGNOL :
Je l’ai entendu lire lui-même à l’antenne avec son accent chantant provençal, deux de ses romans qui depuis sont devenus des best-sellers : La gloire de mon père, et Le château de ma mère.
-Les maîtres du mystère (réalisation Pierre Billard):
Chaque semaine nous écoutions une pièce policière radiophonique qui était précédée d’un indicatif très impressionnant à base de porte qui grince, suivie de bruits de pas dans la nuit, qui plongeait de suite l’auditoire dans une ambiance angoissante.
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-Les causeries de Marcel PAGNOL :
Je l’ai entendu lire lui-même à l’antenne avec son accent chantant provençal, deux de ses romans qui depuis sont devenus des best-sellers : La gloire de mon père, et Le château de ma mère.
-Les maîtres du mystère (réalisation Pierre Billard):
Chaque semaine nous écoutions une pièce policière radiophonique qui était précédée d’un indicatif très impressionnant à base de porte qui grince, suivie de bruits de pas dans la nuit, qui plongeait de suite l’auditoire dans une ambiance angoissante.
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