Cela ne durait qu'un moment, après l'euphorie de la victoire, le surlendemain, il fallait se remettre sérieusement à jour car il était très consciencieux et savait d'un seul regard noir nous faire comprendre que la fête était finie.
Dans ma vie d'enseignant, j’ai eu l'occasion de changer plusieurs fois d'établissements. Je n'y ai jamais retrouvé la ferveur et l'amour qui nous animaient pour ce que Monsieur Robert Lavina appelait :''SA MAISON'' et nous tout simplement Leclerc qu'il soit Collège ou Lycée.
Additif
Ayant soumis mon mémoire à Monsieur Michel, celui-ci me l'a renvoyé avec quelques commentaires d'une grande modestie, les voici :