La rue Borysthène, perpendiculaire à la Calle del Sol, filant vers le sud, était interrompue, au bout de 200 mètres environ, par des jardins de maraîchers C’était la partie la plus méridionale de la ville.
Il y avait, dans cette rue, pas moins de cinq chevriers, installés là. Nous les connaissions tous sous le nom espagnol de « cabreros ».
C’était les familles Gallardo, Giménez, Rodríguez et Pérez. Ils exerçaient déjà d’ailleurs ce métier en Espagne.
Tous faisaient partie d’une vague d’émigrants plus récente. . En effet, leur arrivée chez nous datait seulement de 1927.