Boukanéfis n'a pas été épargné avec deux ponts endommagés. Le journaliste citait "l'oued Mekerra et ses complices d'un jour El Gor et Tajmount narguaient toujours des populations fatiguées et encore sous le choc" Tel un volcan, ce cher oued a fait parler de lui .Affaire à suivre (Mestour)
Notre Mekerra en crue, je l'ai vue une seule fois en crue lorsque j'étais enfant c'était impressionnant avec des vagues qui dépassaient le pont cela me touche beaucoup d'apprendre cette nouvelle (Colette)
c'est inimaginable, tous ces jours derniers, vous parliez tous de la Mekerra comme d'un oued sans eau, sale etc etc.... mais voilà notre Mekerra il ne faut pas lui chatouiller les narines..
la nature est ainsi faite et l'homme ne pourra jamais tout à fait la dompter, contre l'eau, le feu etc....nous sommes impuissants, les catastrophes naturelles sont là pour nous le prouver chaque jour.
Aujourd'hui même je lisais sur "SIDI BEL ABBES de ma jeunesse" les inondations survenues suite à la crue de la Mekerra dans les années 50 et il semblerait que c'est cyclique et que cette crue est constatée de façon régulière une fois ou deux par décennie pourquoi alors ne prend on pas des précautions? encore des personnes qui ont perdu la vie, des personnes sans toit et des dégâts matériels importants. (Adrienne)
Je suis sidérée de découvrir les dégâts de la crue décrits dans l'écho d'Oran.