L’explication d’une victoire
-En commençant par dire la joie que je ressens, a dit Rebibo, comme tout Bel-Abbésien, je suis infiniment heureux, en tant qu’entraineur, de constater que l’organisation de mon équipe a primé sur l’inspiration de nos adversaires.
<< A quoi servirait la tactique si ce n’est à faire prendre le dessus à une équipe inférieure tedchniquement parlant sur une équipe supérieure, en l’occurence le W.A.C. !...
<< La surprise a été grande chez nos supporters de voir le grand remaniement de la ligne d’avants, Séva et Domingo jouant rspectivement ailier gauche et ailier droit, alors que deux jeunes inters, l’un Preguezuelos -- en soutien de nos demis pour contrer les deux grands techniciens Chtouki et Dries -- et (une ligne illisible) un relais entre nos lignes arrière et avant, où Rodriguez était à charge de créer l’ouverture.
Le W.A.C. ne sut jamais contourner notre mur défensif qui se mua par intermittence en béton. Les Marocains s’entétèrent, comme ils le firent d’ailleurs au dernier Tournoi des ligues, à tout jouer par Abdesslem.
<< Cano, un grand Cano veillait -- admirablement secondé par nos vaillants Calatayud -- parfait dans l’art de la contre-attaque -- et Liminiana, également parfait dans le dédoublement en béton de son compère Cano. Quant à nos deux petits arrières, petits par la taille, mais tellement grands par le coeur et la hargne, ils furent avec notre grand Bottini, vraiment splendides. la contre-attaque a payé. Une grande étape vient d’être terminée victorieusement par mon vieux Sporting. Ceci me paie largement de clombien de nuits d’insomnie et de combien de soucis.
<< Je dis à mes amis bel-abbésiens : à bientôt pour la deuxième étape non moins belle : la Coupe Rivet >>.