En guise de conclusion
Jusqu’à l’avènement de l’ère informatique, le radio-amateurisme était une sorte d’internet gratuit ou presque (aujourd’hui, on paie une taxe annuelle de 46 €).
Mais on avait la fierté de construire soi-même les appareils, les antennes et de contacter le monde entier avec une puissance inférieure à 100 watts.
Aujourd’hui, la technique ayant tellement évolué, on est amené généralement à acheter du matériel japonais. Les appareils prennent moins de place. La construction d’antennes filaires ou directives reste encore possible.
La pratique de ce loisir m’a permis de nouer des liens amicaux et de pratiquer l’anglais, l’espagnol et l’italien. J’ai également participé à faire envoyer d’urgence en Argentine un médicament allemand suite à un message émanant de Buenos Aires.
Précisions : le radio-amateur n’est pas un Cibiste, il est régulièrement autorisé par l’Administration à écouler son trafic et les autorités peuvent faire appel à lui en cas de catastrophe naturelle ou crash d’aéronef lorsque les moyens habituels de communication sont inopérants.