Le faubourg Bugeaud

C'est le quartier Bugeaud situé entre les glacis Nord-Est et la Mekerra. Les photographes en mal de pittoresque ont souvent photographié les constructions sauvages en bordure de la Mekerra

Le faubourg Bugeaud ou village Nègre*
Vue générale depuis le marché aux bestiaux (surco), éditions LL n°84 Vue générale autour de la mosquée, éditions CIM
Sidi-bel-Abbès, place du faubourg Bugeaud, éditions Boumendil n°1284 Sidi-bel-Abbès, boulevard du 2ème Spahis, éditions Boumendil n°28
Place du village nègre, éditions LL n°31
Place Bugeaud au village Nègre, éditions Idélae PS n°41
Vue générale de la place Bugeaud, éditions LL n°7
Panorama, en direction de la mosquée, éditions LL n°1
Village Negre de Sidi-bel-Abbes, vue generale, éditions Idéale PS n°22 idéale PS n°1
Une rue du village nègre, éditions Idéale PS n°12
rue du quartier arabe, éditions idéale PS n°13 vue du quartier arabe, éditions Geiser n°2
Constructions sauvages au bord de la Mekerra Carte postale pittoresque vendue au début du 20ème siècle à Sidi-bel-Abbès
Personnage au bord de la Mekerra, éditions Idéale PS n°7 Sidi-bel-abbes, neige les 2 et 3 avril 1910
place au village Negre
remise de decoration au village negre de Sidi-bel-Abbes en 1903
La place Bugeaud ou petit plateau, éditions EPA n°15 La rue de l'ambulance près de la Mekerra, éditions Boumendil
A l'arrivée des Français, Une grande partie des indigènes étaient noirs, la population était composée d'une part par des "Gnaouas", provenant comme leur nom l'indique du Ghana, et que l'on rencontrait un peu partout, jouant de la musique avec une flûte aigre accompagnée de grandes castagnettes métalliques à double tympan : les crotales ou karkabous. Les arabes provenant des tribus des Douairs et Zmélas étaient aussi très hâlés, en tout cas, en comparaison avec la peau blanche des Français, ce qui explique la méprise. Et enfin, les arabes avaient des esclaves qui étaient nègres. (extrait Oran-mémoires)